Toyotomi Hideyoshi, le rêve du singe De Charles-Pierre Serain
Centon Editions
Toyotomi Hideyoshi, le rêve du Singe » par Charles-Pierre Serain est un roman historique qui retrace la vie extraordinaire de Toyotomi Hideyoshi, l’un des trois unificateurs du Japon.
Ce roman est le deuxième tome d’une trilogie consacrée aux unificateurs du Japon, offrant une plongée immersive dans une période charnière de l’histoire japonaise.
C’est avec une immense joie et un honneur profond que j’ai eu l’opportunité de suivre de près l’élaboration de ce roman en tant que relecteur principal. Pas à pas, j’ai assisté à la naissance et à l’évolution de chaque page, chaque chapitre, émerveillé par la créativité et le talent de l’auteur. Cette expérience m’a permis non seulement d’admirer de près le processus de création littéraire, mais aussi de contribuer humblement à ce voyage artistique. C’est avec une grande fierté que je vous présente aujourd’hui ce roman, transformant des idées en une œuvre palpable et inspirante.
Le roman débute en 1557 dans un Japon déchiré par les guerres civiles. Hideyoshi, un petit paysan surnommé « le Singe », entre au service d’Oda Nobunaga, un jeune seigneur de guerre. Grâce à son intelligence stratégique et sa ruse, Hideyoshi gravit rapidement les échelons pour devenir le principal général de Nobunaga.
Après l’assassinat de Nobunaga en 1582, Hideyoshi décide de poursuivre le rêve d’unification du Japon de son maître. Il parvient à réaliser cet objectif en 1590, utilisant habilement la politique, la négociation et des actions militaires fulgurantes.
Thèmes principaux abordées dans le livre
- L’ascension sociale
- L’unification du Japon
- Les stratégies militaires et politiques
- La culture japonaise du 16ème siècle
Le style du roman :
Charles-Pierre Serain, spécialiste du Japon médiéval, intègre son érudition sans lourdeur dans le récit. Le roman alterne entre scènes de batailles, moments intimes et intrigues politiques, offrant une vision complète de l’époque et du personnage. Le rythme est soutenu, maintenant le lecteur en haleine.
Fabrice Geffroy
The Man in The High Castle
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L’aïkido au cœur d’une uchronie
Dans la série The Man in the High Castle (inspiré du livre éponyme de Philip K. Dick, publié en 1962) qui imagine un monde où l’Axe a gagné la Seconde Guerre mondiale, l’aïkido trouve une place surprenante à travers le personnage de Juliana Crain. Pratiquante assidue, elle incarne l’esprit de l’aïkido dans un monde violent et chaotique. Elle essaie d’éviter le conflit direct et cherche des solutions alternatives plutôt que de répondre par l’agression.
Loin d’être un simple détail, l’aïkido reflète son approche du conflit dans un univers dominé par la violence. Comme en aïkido, elle cherche à détourner la force de ses adversaires plutôt que de l’affronter directement. Une belle illustration des valeurs de notre discipline !
Charles Harzic